Imaginez d’abord des oisillons nouvellement éclos dans le nid. Les parents ont travaillé dur pour préparer un cocon sûr, puis ont passé toutes leurs vie: à protéger, nourrir, nettoyer et éduquer leurs précieux petits. Mais qu’en serait-il de plus si les oisillons avaient vécu avec un parent avec un syndrome de Diogène ?
Vous voulez la réponse alors cet article est fait pour vous, que vous ayez quatorze ou quarante ans, comprenez comment gérer un parent qui le trouble du syndrome de Diogène ( accumulateur compulsif).
Aussi habituellement appelé le trouble de l’accumulation compulsive, il s’agit d’un réel problème de santé mentale. Non, ce n’est pas une faiblesse morale, ni une paresse et encore moins de l’ordre de la saleté.
De plus, la génétique et l’âge aggravent souvent une condition préexistante.
Déclenché par des situations douloureuses telles que : la dépression, la pauvreté, la perte et l’abandon d’un proche. Les parents aux prises avec le trouble du syndrome de Diogène manquent bien souvent de compétences en résolution de problèmes. Ils se sentent trop vite débordés, prendre des décisions et organiser les tâches s’avère très difficile pour eux ayant le sentiment d’échec avant même d’avoir commencé. La confiance en soi est quasi inexistante pour eux.
Les achats et les collectes incontrôlables sont aggravés par la compulsion à garder leurs biens. Ce qui semble être une babiole pour beaucoup d’entre nous, est en réalité pour un accumulateur un repère qui lui procure un sentiment de sécurité pour un avenir qui lui paraît tellement incertain.
Être entouré de vieux objets lui permet donc de garder vivants des souvenirs de temps plus heureux. Quelque chose d’aussi élémentaire que de se débarrasser des ordures représente le changement et l’élimination, déclenchant alors le chaos, un véritable cataclysme dans la vie et l’esprit du thésauriseur.
Il n’est alors pas du tout surprenant que vivre dans une peur constante amène le parent atteinte d’un trouble du syndrome de Diogène à s’isoler des autres. Ainsi, l’encombrement croissant entraîne une honte croissante mais incontrôlée.
Que faire, une fois le constat ?
Vous êtes peut-être une personne à accorder de l’importance à votre vie privée, ou plutôt de nature timide, vous évitez donc soigneusement de parler de vos problèmes. Cependant, apprendre à poser des questions vous montre que vous n’êtes pas seul. Le partage des problèmes conduit au partage des réponses à travers un échange mutuel d’expériences et de questionnements.
Une question pour vous : saviez-vous que les humains ressemblent beaucoup aux perruches ? Comme les chevaux, les bovins, les chiens et les poissons rouges.
En effet, Nous sommes tous des humains qui se débrouillent le mieux en groupe. Nous œuvrons ensemble et nous nous soutenons l’un à l’autre pour le bien du groupe. Il est normal et sain de demander de l’aide. Certains problèmes peuvent sembler être « l’affaire de personne d’autre », mais la vérité est que vous serez étonné de réaliser combien de personnes sont finalement si « proches » de vous c’est-à-dire avec les mêmes problèmes.
Il faut vous documentez en explorant des livres, des magazines, des sites Web. Consulter des forums sur le trouble du syndrome de Diogène et les réseaux sociaux. Vous pouvez également vous adresser à des adultes spécialisés dans la résolution de problèmes familiaux tels que des enseignants, des médecins et service sociaux qui vous mettent à l’aise.
Pensez aux moments difficiles de votre propre vie lorsqu’un problème survient. Rappelez-vous les discussions passées lorsque vos parents semblaient incapables de se mettre à votre place. Vous avez alors maintenant une idée de ce qu’ils ressentaient. Retenez que la communication fonctionne mieux lorsque :
Plus vous parlez ensemble, plus « ce trouble » devient normal. Mais attention, les moments de colère peuvent éclater surtout face à des questions sensibles, il est donc normal que vous preniez un peu de recul et de distance. En effet, partager le quotidien d’un proche avec un trouble du syndrome de Diogène, c’est comprendre sa détresse, sa frustration et sa solitude.
Il faut réussir à un moment donné, à évoquer l’idée de vous adresser à un expert car il en existe bel et bien, comme on le ferait d’aller au garage pour sa voiture, ou chez le dentiste pour se soigner une rage de dents. Le plus aisé est de commencer par s’adresser à son médecin de famille ou un professionnel de santé de confiance et rassurant qui connait la personne et saura la mettre à l’aise.
De plus, les professionnels de santé et les entreprises de nettoyage syndrome de diogene agréée sont soumis aux lois sur la protection de la vie privée et la préservation de la confidentialité de leurs dossiers. Ils respectent les besoins de chaque patient, travaillant sur leurs compétences en résolution de problèmes. Ils mettent en place des moyens sains de gérer l’anxiété et les comportements d’accumulation. Il créée donc un plan d’action personnalisé et adapté pour désencombrer la maison et la rendre plus sûre et vivable.
La règle d’or qui fait partie de toutes les grandes religions du monde :
« Faites aux autres ce que vous souhaiteriez qu’on vous fassent. » est évidemment applicable dans un tel cas.
Vous comprenez donc que faire des commentaires négatifs n’aide absolument pas les personnes qui luttent contre le trouble syndrome de diogene :
Toutes ces phrases sont à bannir.
Peut-être avez-vous vu des images d’une émission de l’équipe Cleaners qui déblaie et vide une maison. Mais imaginez la peur de cette personne : quelqu’un dérangé, tiré de sa cachette avec des armes automatiques pointées sur lui, pensez-vous que cela l’aiderait ?
Les solutions thérapeutiques ne sont pas engendrées par des exigences de colère ni une violation de l’espace privé qui est rassurant pour la personne en souffrance. En d’autres termes, pour aider il faut d’abord comprendre que le comportement d’accumulation est un réel problème de santé mentale.
Avez-vous reçu une formation en RCR et en premiers secours ? La première action pour sauver des vies est de scanner la scène. L’intervention d’urgence est dangereuse à moins que les lieux ne soient sécurisés. En apprenant à aider un parent avec un trouble diogene, concentrez-vous d’abord sur sa sécurité et sa santé.
E priorité, une maison a besoin de chemins dégagés vers les voies d’accès telles que les portes et les sanitaires.
Les glissades, les trébuchements et les chutes sont les principales causes de blessures, en particulier chez les personnes âgées. Enlever donc les tapis, les piles de vêtements, les cordons et autres objets sur le sol peut sauver la vie de vos parents. Les risques d’incendie comprennent les cordons endommagés ainsi que les prises électriques entourées de matériaux inflammables.
Sachez que les parasites et les moisissures peuvent déclencher des réactions allergiques, de l’asthme et des problèmes respiratoires permanents, il est donc essentiel de laisser entrer l’air frais dans la maison. Aérez !
Encouragez votre parent à se procurer un système d’alerte médicale en cas d’urgence.
Que vous viviez avec un parent accumulateur ou seul, vous ne pouvez pas vivre à la place de l’autre mais vous pouvez voir un problème qui s’aggrave. Ce que vous pouvez faire, c’est en apprendre davantage à ce sujet, puis vous efforcer de trouver des personnes qui peuvent vous aider. Ne vous blâmez pas, trouvez de l’aide.
Le trouble de l’accumulation compulsive est une maladie qui dure toute la vie et qui doit être gérée par la personne qui en souffre. C’est au-delà de votre capacité à guérir, vous n’avez donc aucune raison de vous sentir coupable de ne pas en faire assez. Vous aidez déjà en proposant des solutions et avant tout un soutien émotionnel très important. Écoutez, préparez-vous à un long voyage et célébrez ensemble les petits succès.
Vous pouvez également aider en vous aidant vous-même.
Prendre soin de soi n’est pas égoïste. Les agents de bord demandent aux passagers, avant le décollage de l’avion, de mettre d’abord leur propre masque à oxygène avant d’aider les autres passagers. C’est épuisant d’être un enfant qui doit élever un parent, et toutes les personnes impliquées souffrent du chaos. Vous grandissez en vous demandant pourquoi vos parents ne voient pas comment les comportements obsessionnels vous affectent. Vous vous sentez blessé et confus parce que vos besoins sont négligés au profit de l’obsession des « choses ».
Le trouble de l’accumulation de vos parents n’est ni de votre faute ni de votre responsabilité. Votre travail consiste à vous renforcer en recherchant un expert en santé mentale sur le trouble du syndrome de diogene – trouble de stress post-traumatique.
Grand nettoyage est une entreprise avec une équipe située dans chaque région de la France. Nous offrons toutes sortes de services de nettoyage et de débarras professionnel. Notre spécialité est d’aider les personnes qui accumulent. Nous offrons ainsi des soins centrés sur la personne, en respectant les émotions et les préférences de chacun. Notre objectif est de donner une nouvelle chance aux personnes dont la vie a été brisée sans aggraver les traumatismes.
Parce que nous sommes dans le métier depuis des années et que nous avons tout vu – tout ! – nous sommes qualifiés pour vous montrer comment aider un parent avec un trouble du syndrome de diogene. Forts de notre expérience, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous aider, vous et le patient, à obtenir ce dont vous avez besoin en tant que malade du trouble de l’accumulation compulsive.
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